A l’origine le MOOC était utilisé comme une ressource complémentaire : on utilisait des »bouts » de MOOC pour illustrer, compléter ou alléger son unité d’enseignement. Avec le temps et pour en gagner, la question se pose de »remplacer » une UE complète par un cours en ligne complet (sauf l’évaluation ). Les bénéfices possibles en terme de personnalisation des parcours semblent évidents mais la question de l’efficacité reste…est ce aussi pertinent que les cours et les activités, les échanges réalisés en présentiel…Les dispositifs pédagogiques hybrides expérimentés apportent de la flexibilité et répondent à l’appétence des étudiants pour ces interfaces de formation. La réflexion mérite d’être menée sur nos campus avec nos Mooc… et les autres…
Avec ces deux articles, Françoise DOCQ coordinatrice de Mooc Expérience à l’Université de Louvain nous propose:
- une analyse et un bilan 2018 sur les MOOC de UCL à travers divers indicateurs: nombre d’inscrits, nombre d’apprenants actifs, taux de complétion avec un focus sur les profils des apprenants et des témoignages d’enseignants.
- Une réflexion sur les usages des MOOC.