Marco Guilbault et Anabelle Viau-Guay proposent la la revue « Ripes » une bonne synthèse bibliographique sur le sujet, en se basant sur les articles publiés sur une période longue (2000-2015). Les constats sont présentés en mettant en évidence à la fois les bénéfices et les limites d’une telle approche, du point de vue des étudiants comme des enseignants. Des recommandations pour les enseignants et les institutions d’enseignement supérieur sont ensuite dégagées. Cet article contribue à mieux connaitre la classe inversée, telle qu’elle a été documentée empiriquement, et d’éclairer les praticiens qui souhaiteraient la mobiliser le plus efficacement possible, et ce, peu importe le contexte disciplinaire.

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